“Quand par une entière soumission et résignation à sa Providence, vous vous dépouillerez du soin du succès de votre vie, même éternelle, entre les mains de sa douceur et de son bon plaisir, Il vous délivrera de cette peine, ou vous donnera tant de force pour la supporter que vous aurez sujet d’en bénir la souffrance.” (Lettre à Mme la comtesse de Dalet, le 8 février 1622, EA t. XX, p. 267)
Jésus est touché par la confiance de ce malade, humble, suppliant, couché sur une civière. « Tes péchés sont pardonnés ». Jésus va au plus important, car l’homme doit d’abord guérir intérieurement, et quel homme oserait prétendre n’avoir pas besoin d’une telle guérison ? La guérison la plus importante est spirituelle. La guérison physique n’en est que le signe. (Merveilles bibliques pour prier. Pierre Vanderliven)